samedi 16 avril 2011

Carnets de Voyage

En ce jour de septembre, qui n’était pas dimanche
Quittant mon Home pour un Parfum d’Outre Manche
Telle une Vague, le train de chez moi me sépare
Trop tard pour faire volte/face, c’est le grand départ

Ce s’ra Pulp Fiction ou Coup d’foudre à Notting Hill
Un jour sans fin, The Hours qui lentement défilent
Ou bien Shakespeare in Love et chantons sous la pluie
Qu’importe, la vie est belle et moi j’suis be happy

REFRAIN
Il était une fois, quitter sa terre d’accroche
Pour le temps d’un voyage, aller si loin si proche
Par delà les nuages et sur le grand chemin
Eh, l’aventure c’est l’aventure, Vas vis, deviens !

Les étreintes brisées, ce jour où la ville gronde
Prennent soudain la force de tous les matins du monde.
Le Train de vie m’emporte, je dis Adieu pays
Je commence La grande vie, au monde du taste of tea

C’est La grande vadrouille au pays à l’envers
Parmi La Tour de Londres et les Taxi driver
Au pays de The Queen, tel une légende d’automne
Mon voyage s’écoule au doux son des Welcome

REFRAIN
Il était une fois, quitter sa terre d’accroche
Pour le temps d’un voyage, aller si loin si proche
Par delà les nuages et sur le grand chemin
Eh, l’aventure c’est l’aventure, Vas vis, deviens !

Et puis le jour d’après, par ma Fenêtre sur cour
La cité me donna les vertiges de l’amour
Et puis soudain De battre mon coeur s’est arrêté
Et c’est A bout de souffle, que j’ai réalisé

Que le jour le plus long ou qu’une histoire sans fin
Ne seraient pas assez pour les beaux lendemains
Pour percer Le secret de ce monde si beau
Des 400 coups que je devrai quitter bientôt

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire